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Synodicon de l'Orthodoxie

  • GUETTEE Wladimir - Bibliographie

    http://data.bnf.fr/documents-by-rdt/12253036/70/page1

     

    Bibliographie complétée et mise à jour des œuvres du Père Wladimir GUETTÉE

    (1816-1892)

    Note aux lecteurs et chercheurs : Tous ces livres et documents sont consultables à la Bibliothèque nationale de Paris; à la grande Bibliothèque de France F. Mitterrand [voir également le site très complet GALLICA-BnF sur internet]; à la prestigieuse Bibliothèque Sainte Geneviève à Paris : http://www.bsg.univ-paris3.fr/iguana/www.main.cls Catalogue : http://bsg-catalogue.univ-paris3.fr/bsg/Vubis.csp ; à la bibliothèque de l'Arsenal à Paris, au département des livres imprimés, ainsi qu'au service des microfiches; à la Bibliothèque de Lyon, cette dernière dispose d'un catalogue sur Internet. La Bibliothèque Nationale Universitaire de Strasbourg possède de très nombreux ouvrages du Père W. Guettée. Voir également le moteur de recherches Google qui propose des ouvrages complets aux formats numérisés et  PDF. (Lectures et téléchargements gratuits)

     

    (1) GUETTÉE (Abbé René-François-Wladimir). Acte d'appel adressé au pape, par M. l'abbé Guettée, d'une décision de M. François-Nicolas-Madeleine-Morlot, cardinal archevêque de Paris. (31 décembre 1857) Paris, Imprimerie de Dubuisson (s.d.). In-8°, 19 p.

    [ cote 8° Ln27.9284 ] Voir la microfiche m 20356.

     

    (2) Deux prétendus savants en présence de la science et de la religion, ou Réponse à MM. G. Wyrouboff et E. Goubert, par M. l'abbé Guettée. Paris, librairie de l'Union chrétienne, 1865. In-12, 24 p.

    [ cote Sp. 5323 ] Voir la microfiche m 18548.

    Relation BNF et lecture de l'ouvrage en ligne : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31672430h

     

     

    (3) Du discours d'ouverture ( du cours des langues hébraïque, chaldaïque et syriaque, au Collège de France ) de M. E. Renan, par M. l'abbé Guettée. Paris, E. Dentu, 1862. In-8°, 15 p.

    [ cote 8° O2. 311 ] Voir la microfiche m 20357.

     

    (4) De l'Encyclique du 8 décembre 1864, par un docteur en théologie ( l'abbé R.-F.-W. Guettée ) Paris, Dentu, 1865. In-8°, 75 p.

    [ cote D. 56544 ] Voir la microfiche m 18549.

     

    (5) E. Renan devant la science, ou Réfutation de la prétendue " Vie de Jésus " de M. E. Renan au triple point de vue de l'exégèse biblique, de la critique historique et de la philosophie, par M. l'abbé Guettée. Deuxième édition - Paris, librairie de l'Union chrétienne, 1864. In-8°. VIII-470 p. Voir également la rubrique n° (30).

    a) Tolbiac [ cote H. 14974 ] Voir les microfiches m 18706 et 22847.

    Ouvrage en PDF : http://wladimirguettee.hautetfort.com/media/01/00/703608004.pdf

    Relation BNF et lecture de l'ouvrage en ligne : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30553411r

     

    b) Arsenal [ cote 8 - H - 18644 ] (1); Doc. numérisé : NUMM- 65596.

    Lien similaire pour cet ouvrage au format numérisé :  http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65596n/f4.image

     

    (6) Essai bibliographique sur l'ouvrage de Bossuet intitulé : " Avertissement sur le livre des réflexions morales ", ou Réfutation des assertions de M. Poujoulat relatives à cet ouvrage, avec un appendice sur quelques réflexions de M. Dulac, de " l'Univers ", par l'abbé Guettée. Paris, J. Renouard, 1854. In-8°, 31 p.

    [ cote D. 36993 ] Voir la microfiche m 20308 ou 20358.

    Ouvrage PDF : https://books.google.fr/books?id=uxLRDsjNmTwC&printsec=frontcover&dq=Wladimir+Guett%C3%A9e&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Wladimir%20Guett%C3%A9e&f=false

     

    (7) Exposition de la doctrine de l’Église catholique orthodoxe, accompagnée des différences qui se rencontrent dans les autres églises chrétiennes, par W. Guettée. Paris, librairie de l'Union chrétienne, 1866. In-16, XLI-487 p.

    [ cote D2. 12394 ] voir la microfiche m 18707.

    Ouvrage PDF : https://books.google.fr/books?id=LZ9DAAAAcAAJ&printsec=frontcover&dq=Wladimir+Guett%C3%A9e&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Wladimir%20Guett%C3%A9e&f=false

     

    (8) Ekqesiz thx didaskaliaz thz orqodozon kaqolikhz ekklhsiaz, meta twn en taiz loipaiz cristianikaiz ekklhsiaiz apantiomenwn diaforwn upo B. Gettee. metafrasiz Markou Dhm. Mpalampanwz. Paris, librairie de l'Union chrétienne, 1867. In-16, XLIX-517 p. en grec.

    [ cote D2. 12468 ] Voir les microfiches m 21604; m 25358.

    Accès à cet ouvrage au format PDF : http://books.google.com/books?id=hN-V2-vNkD0C&hl=fr&pg=PP1#v=onepage&q&f=false

     

     

    (9) Histoire de l’Église de France, composée sur les documents originaux et authentiques, par l'abbé Guettée. Paris, V. Masson ( J. Renouard, etc. ), 1847-1856. 12 volumes In-8°.

    [ cote 8° Ld2. 16 ] Édition de 1857 : T. I-IX. [ cote 8° Ld2. 16 C - tomes 1 à 12 ]

    [ cote 8-H-18740 (complet); 8-H-18741 tomes : 9, 3 ]

    [ cote FB-30524 à 30535 - 12 tomes, Ed. Lyon, Paris - Guyot frères - 1847-1857 ]

    Ouvrages en PDF :

    tome 1 : http://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=wu.89092548353;view=1up;seq=9

    tome 2 : http://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=wu.89092548403;view=1up;seq=9

    tome 3 : http://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=wu.89092548775;view=1up;seq=9

    tome 4 : http://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=wu.89092548742;view=1up;seq=9

    tome 5 : http://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=wu.89092548726;view=1up;seq=7

    tome 6 : https://books.google.fr/books?id=050FAAAAQAAJ&printsec=frontcover&dq=Wladimir+Guett%C3%A9e&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Wladimir%20Guett%C3%A9e&f=false

    tome 7 : http://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=wu.89092548783;view=1up;seq=9

    tome 8 : http://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=wu.89092548718;view=1up;seq=9

    tome 9 : http://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=wu.89092548692;view=1up;seq=9

    tome 10 : http://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=iau.31858042702260;view=1up;seq=9

    tome 11 : http://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=iau.31858042702278;view=1up;seq=9

    tome 12 : http://books.google.com/books?id=_hlX12k0xYMC&hl=fr&pg=PA468#v=onepage&q&f=false

     

    Identifiant ouvrages en ligne :

    tome 1 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211752d

    tome 2 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211897b

    tome 3 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211903m

    tome 4 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211642p

    tome 5 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211905f

    tome 6 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211633q

    tome 7 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62120151

    tome 8 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62119041

    tome 9 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211749x

    tome 10 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62118995

    tome 11 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211898r

    tome 12 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211901s

    Relation BNF : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb305534154

     

    (10) Histoire de l’Église de France, ou Histoire du christianisme en France depuis son origine jusqu'à nos jours, par l'abbé Guettée. Paris, au bureau de l'administration de l'Histoire de l’Église de France, 1853. In-8°, 36 p.

    [ cote 8° Ld2. 17 ] (Extrait du T. VIII de l'ouvrage précédent ) Voir les microfiches m 20359; m 23754 - 9 tomes.

    Ouvrage en PDF : http://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=hvd.hnxdum;view=1up;seq=5

     

    (11) Histoire de l’Église, depuis la naissance de N.-S. Jésus-Christ jusqu'à nos jours, composée sur les documents originaux et authentiques, par Wladimir Guettée, T.I. Paris, Cherbuliez, ( 1869 ). In-8°.

    [ cote H. 14980 ] ( Il y a trois volumes consultables dont les tomes suivants : 1, 4, 6. )

     

    (12) Histoire des Jésuites, composée sur les documents authentiques en partie inédits, par l'abbé Guettée. Paris, Huet, 1858-1859. 3 vol. In-8°.

    [ cote H. 14975-14977 ] - [ cote H. 14978 ] 2ème édition - Paris, A. Sagnier, 1872.

    Ouvrage PDF : https://books.google.fr/books?id=d84CAAAAQAAJ&printsec=frontcover&dq=Wladimir+Guett%C3%A9e&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Wladimir%20Guett%C3%A9e&f=false

     

    (13) 1872. 2ème édition - Paris, A. Sagnier. In-8°.

    [ cote H. 14978 ] (T. I. incomplet )

    Ouvrage PDF : https://books.google.fr/books?id=l6NTAAAAcAAJ&printsec=frontcover&dq=Wladimir+Guett%C3%A9e&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Wladimir%20Guett%C3%A9e&f=false

     

    (14) Introduction. Voir BESOIGNE (Jérôme ). Vie de M. Henri Arnauld, évêque d'Angers. Nouvelle édition - Angers, 1863. In-8°.

    [ cote 8° Ln27. 638 ]

     

    (15) Jansénisme et jésuitisme, ou Examen des accusations de jansénisme soulevées par M. Lequeux, contre l'abbé Guettée. Paris, Huet, 1857. In-8°, III-118 p.

    [ cote 8° Ld4. 5297 ] Voir la microfiche m 20360.

    Ouvrage PDF : https://books.google.fr/books?id=z8QCAAAAQAAJ&printsec=frontcover&dq=Wladimir+Guett%C3%A9e&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Wladimir%20Guett%C3%A9e&f=false

     

    (16) Première lettre à Mgr Sibour, archevêque de Paris, à propos d'une mesure qu'il a cru pouvoir prendre contre M. l'abbé Guettée. Paris, l'auteur, 1856. In-8°, 14 p.

    [ cote 8° Ld2. 19 ] Voir la microfiche m 21605.

     

    (17) Lettre à M. Dupanloup, évêque d'Orléans, à propos de sa pastorale au clergé et aux fidèles de son diocèse, à l'occasion des fêtes de Rome, et pour leur annoncer le futur concile œcuménique, par l'abbé Guettée. Paris, Lebigre-Duquesne frères, 1868. In-8°, 44 p.

    [ cote D2. 12777 ] Voir la microfiche m 21606.

     

    (18) Lettre { 2ème lettre } à M. le prince Augustin Galitzin, par l'abbé Guettée. Paris, bureaux de l'Union chrétienne, 1862. Deux pièces In-8°.

    [ cote 8° Ln27. 9287 ] Voir la microfiche m 21607.

     

    (19) Lettre au R. P. Gagarin, de la Cie de Jésus, touchant l’Église catholique orthodoxe et l’Église romaine, ou Défense de " la Papauté schismatique " [cote D2. 13531] contre les calomnies et les erreurs du parti jésuitique, caché sous le pseudonyme de Boulgak, par l'abbé Guettée. Paris, librairie de l'Union chrétienne, 1867. In-8°, v-89 p.

    [ cote D2. 12728 ] Voir la microfiche m 18550.

     

    (20) Mémoire à consulter touchant une décision anti-canonique de M. Morlot, à l'encontre de M. l'abbé Guettée. ( 1er février 1858 ) - Paris, imprimerie de Dubuisson (s.d.). In-8°, 47 p.

    [ cote 8° Ld27. 9285. ] Voir la microfiche m 21611.

     

    (21) Mémoires pour servir à l'histoire de l’Église de France pendant le XIXème siècle, par R.-F.-W. Guettée, T. I. - Paris, Fischbacher, 1881. In-8°.

    [ cote 8° Ld3. 402 ]

     

    (22) Notice historique et archéologique sur l'église de Saint-Lubin à Suèvres, par M. l'abbé Guettée. Blois, imprimerie de Morard, 1850. In-8°, 18 p. et pl.

    [ cote 8° Lk7. 9592 ] Voir la microfiche m 21608.

     

    (23) Le nouveau dogme en présence de l’Écriture Sainte et de la Tradition catholique, ou lettres à Mgr Malou, évêque de Bruges, sur son livre intitulé : " L'Immaculée Conception de la B. Vierge, considérée comme dogme de Foi ", par M. l'abbé R.-F.-W. Guettée. - Paris, A. Johanneau (1859). In-8°, XLVII - 240 p.

    [ cote D. 46111 ] Voir la microfiche m 18708.

     

    (24) Observations d'un théologien sur la bulle de Pie IX relative à la conception de la Sainte Vierge, par l'abbé R.-F.-W. Guettée. Paris, chez les principaux libraires, 1855. In-8°, 75 p.

    [ cote D. 46326 ] Voir la microfiche m 18709.

     

    (25) La Papauté hérétique, exposé des hérésies, erreurs et innovations de l’Église romaine depuis la séparation de l’Église catholique au IXème siècle, par Wladimir Guettée. Paris, Sandoz et Fischbacher, 1874. In-8°, XII - 376 p.

    [ cote D2. 13856 ] Voir la microfiche m 20361. 

    Ouvrage PDF : https://books.google.fr/books?id=7-YbmvQv7e8C&printsec=frontcover&dq=Wladimir+Guett%C3%A9e&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Wladimir%20Guett%C3%A9e&f=false

    Ouvrage en PDF : http://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=nnc1.cr60150203;view=1up;seq=7

     

     

    (26) La Papauté moderne condamnée par Saint Grégoire-le-Grand, extraits des ouvrages de Saint Grégoire-le-Grand traduits et commentés par l'abbé Guettée. Paris, Dentu, 1861. In-8°, 61 p.

    [ cote D2. 13532 ] Voir la microfiche m 20363.

    Relation BNF  lecture de l'ouvrage en ligne : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30553432q

     

    (27) La Papauté schismatique, ou Rome dans ses rapports avec l’Église orientale (Orthodoxe), par M. l'abbé Guettée. Paris, librairie de l'Union chrétienne, 1863. In-8°, XV - 398 p.

    [ cote D2. 13531 ] Voir la microfiche m 20362.

    Ouvrage PDF : https://books.google.fr/books?id=21lIAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=Wladimir+Guett%C3%A9e&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Wladimir%20Guett%C3%A9e&f=false

    Ouvrage en PDF : http://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=nnc1.cr00312045;view=1up;seq=9

     

    (28) 1874. 2ème édition. Paris, Sandoz et Fischbacher. In-8°, XIX - 398 p.

    [ cote D2. 13855 ]

     

    (29) Réflexions ... intitulées : A propos d'un article inséré dans le " Courrier des Sciences ". (Extrait de " l'Union chrétienne ", 29 janvier 1865.) Voir VYROUBOV (Grigorii). La Science vis-à-vis de la religion. Paris, 1865. In-8°.

    [ cote R. 54178 ] Voir la microfiche m 21609.

     

    (30) Réfutation de la prétendue " Vie de Jésus " de M. E. Renan, ... par M. l'abbé Guettée, 1ère partie. Paris, librairie de l'Union chrétienne, 1863. In-8°, 462 p. Voir également la rubrique n° (5).

    [ cote H. 14979 ] [ cote P93/000999 ] 

    Lecture de l'ouvrage en ligne : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65596n/f4.item.zoom

    Relation BNF : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30553411r

     

    (31) Requête et mémoire adressés à S. Exc. le ministre des Cultes, par M. l'abbé Guettée, en appel comme d'abus d'une décision de M. Morlot, 1er février 1858. - Paris, imprimerie de Dubuisson (s.d.). In-8°, 18 p.

    [ cote 8° Ln27. 9286 ]

     

    (32) Dr Wladimir Guettée. Souvenirs d'un prêtre romain devenu prêtre orthodoxe. - Paris, Fischbacher, 1889. In-8°, 421 p. et portrait.

    [ cote 8° Ln27. 39272 ]

    Lecture de l'ouvrage en ligne : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5773595r

    Relation BNF : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30553437f

     

    (33) Supplément aux décrets du concile de la province de Bordeaux, célébré à la Rochelle en 1853 et publié en 1855, ou Défense de " l'Histoire de l’Église de France " contre les imputations contenues dans ces décrets, par M. l'abbé Guettée. Paris, l'auteur, 1855. In-8°, 47 p.

    [ cote 8° Ld2. 18 ] Voir la microfiche m 21612.

     

    (34) Une injustice. Appel à l'opinion publique d'une décision prise par le conseil de la Légion d'honneur, sur un avis illégal et calomnieux de M. Batbie, ... Signé : W. Guettée. - Bruxelles, imprimerie de Combe et Vande Weghe, 1874. In-8°, 31 p.

    [ cote 8° Ln27. 56677 ] Voir la microfiche m 21610.

     

    (35) Ed. CLEMENCET (Dom Charles). Histoire littéraire de Port-Royal. Publiée avec une introduction et la biographie de l'auteur par Monsieur l'abbé Guettée. Paris, 1868. In-8°. Deux exemplaires.

    [ cote 8° Ld3. 253 et Z. 45572 ] T.I. Voir la microfiche m 21613. (1)

    Ouvrage en PDF : https://books.google.fr/books?id=I9w8AAAAcAAJ&printsec=frontcover&dq=Wladimir+Guett%C3%A9e&hl=fr&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Wladimir%20Guett%C3%A9e&f=false

    Relation BNF : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb36064212z

     

    (36) Ed. LE DIEU (Abbé François). Mémoires et journal sur la vie et les ouvrages de Bossuet. - Paris, 1856-1857. Quatre volumes In-8°.

    [ cote 8° Ln27. 2496 ] Voir la microfiche m 21614. (1-4)

     

    (37) L'infaillibilité Papale en présence de la Sainte Écriture, de la Tradition Catholique et de la raison; ou lettres à Mgr Deschamps. Auteur : W. Guettée. (Docteur en théologie) Paris, 1870. Joël Cherbuliez, libraire-éditeur. 168 p.

    Classement de cet ouvrage dans le fichier des anonymes à la Bibliothèque nationale.

    [ cote E. 8073 ] 1

     

    AUTRES OUVRAGES   

    (38) La Divine Liturgie de notre Saint Père Jean CHRYSOSTOME - traduction nouvelle de l’Église catholique orientale - Paris, Fischbacher (s.d.). Réédition : 1913.

    Voir la microfiche m 18710.

    [ cote BB 8° SUP 372 ] Cette dernière cote est attribuée à la bibliothèque Sainte-Geneviève, à Paris.

     

    REVUES

    (39) L'Observateur catholique, 12 volumes (1855-1866)

    [ cote : 8° Lc3. 83 ]

     

    (40) L'Union chrétienne, (1859-1891)

    1ère série : 7 volumes In-4

    2ème série : 7 volumes In-8

    11 volumes édités en France de 1859 à 1867 - et de 1868 à 1870.

    Volumes de 1870 à 1891 : édités en Belgique.

    [ cote : D. 2709 et D. 64175 ]

     

    De la mise à l'index de l'Histoire de l’Église de France - Paris, Bureaux de l'Union chrétienne, 1852.

     

    Lettres à quelques évêques, Paris, Bureaux de l'Union chrétienne, 1853-1854.

    Lettre à Mgr Pallu-Duparc, Évêque de Blois, contre la liturgie romaine.

    Lettre à Mgr Baillès, Évêque de Luçon, contre l'Index de Rome.

    Lettre à Mgr de Bonald, Archevêque de Lyon, contre l'autocratie papale.

     

    Très humble remontrance à Mgr l'Archevêque de Paris, à propos de son mandement sur l'Immaculée-Conception. Paris, Bureaux de l'Union chrétienne, 1855.

    Observations touchant le mandement de Mgr l'Archevêque de Paris (Mgr Sibour) sur le retour à la liturgie romaine - Paris, Bureaux de l'Union chrétienne, 1856.

    Mémoires contre un acte arbitraire et despotique de Mgr Morlot, cardinal-évêque de Paris (trois brochures), Paris, Bureaux de l'Union chrétienne, 1856.

    Réfutation du cours d'histoire ecclésiastique de M. l'abbé Lavigerie (aujourd'hui évêque de Nancy) contre Port-Royal. Paris, Bureaux de l'Union chrétienne, 1857.

     

    (41) Mémoire soumis à l'empereur Napoléon III, sur la restauration de l’Église gallicane. Paris, Bureaux de l'Union chrétienne, 1861. Imprimerie de Dubuisson, 20 p.

    [ cote L4d 5564 ]

     

    Histoire de l’Église, depuis la naissance de N. S. Jésus-Christ jusqu'à nos jours, composée sur les documents originaux et authentiques. (sept tomes) Paris, Cherbuliez, puis Sandoz et Fischbacher, 1869.

    Tolbiac - [ cotes H-14980 (1); H-14980 (4); H-14980 (6) ]

     

    (42) La Russie et son Église : Lettre à M. Soloviev, à propos de la brochure intitulée " L'idée russe ". Paris, Fischbacher, 1888 (se trouve à la bibliothèque du Saulchoir, à Paris.)

    [ cote 141 - SOL - GUE, n° 16016 ]

    Voir également l'ouvrage édité en 1990 par la Fraternité Orthodoxe Saint Grégoire PALAMAS : " Lettre à Soloviev - La Russie et son Église -, par le Père Wladimir GUETTÉE.

    ISBN 2-908 197-22-7.

    ISSN 0758-4873.

    Voir également sur le même sujet, la cote [ 8° M. Pièce 8209 ]

     

    Liturgie et Catéchisme à l'usage des fidèles de l’Église Catholique Gallicane.

     

    The Papacy; its historic origin and primitive relations with the Eastern churches. Translated from the French, and prefaced by original biographycal notice of the author. With an introd. by A. Cleveland Coxe : New York, Minos Pub. Co. n. d.

    New York, Minos Pub. Co, 1866.

    New York, Carleton, 1867.

    New York, Minos Pub. Co, 1954.

    Traduction des Quatre Évangiles.

     

    (43) Histoire de l’Église de France, composée sur les documents originaux et authentiques, par l'abbé W. Guettée (René-François-Wladimir).

    Tome I (-XII), 1847-1857.

    Douze volumes - In-8°

    Le tome 12 est suivi d'un supplément ou " Défense de l’Église de France " du même auteur.

    [ cote H 8° 547 ter inv. 3290 à 3301 ] cette cote est attribuée à la bibliothèque Sainte-Geneviève, à Paris.

     

    (44) Jansénisme et jésuitisme, ou examen des accusations soulevées par M. Lequeux contre l'abbé GUETTÉE. Paris, 1857. In-8°, (III-118 p.)

    [ cote D 67.033 ] cette cote est attribuée à la bibliothèque Sainte Geneviève, à Paris. (76.147.)

     

    (45) Supplément aux décrets du Concile de la Province de Bordeaux, célébré à la Rochelle en 1853 et publié en 1885, ou Défense de l'Histoire de l’Église de France contre les imputations contenues dans ces décrets. 1855 - Paris, In-8°. 47 p. Guettée W.

    [ cote Br 66.392. ] et [ cote H 8° 547 ter inv. 3301. ] (pièce 2.) ces cotes sont attribuées à la bibliothèque Sainte-Geneviève, à Paris.

     

    (46) Éditions de CLEMENCET (Dom Charles). Histoire littéraire de Port-Royal. T1. - Paris, 1868. GUETTÉE (abbé René-François-Wladimir).

    [ cote Q 8°SUP 1. 204. ] cette cote est attribuée à la bibliothèque Sainte-Geneviève, à Paris.

     

    ÉTUDES & RÉ ÉDITIONS

    GUETTÉE Wladimir, " DE LA PAPAUTÉ " - textes choisis et présentés par le Père Patric RANSON. Éditions L'AGE D'HOMME - collection : La Lumière du Thabor. Lausanne - Paris, 1990. 248 p.

    ISBN 2-8251-0104-4.

     

    Un précurseur Wladimir GUETTÉE. Monastère orthodoxe Saint-Michel, à Lavardac - 47230. 1992. Jean-Paul BESSE. 176 p.

     

    GUETTÉE Wladimir, " La Papauté schismatique " - Collection Documents Monastère orthodoxe Saint-Michel. Lavardac, 47230.

    GUETTÉE Wladimir, " La Papauté hérétique " - Collection Documents Monastère orthodoxe Saint-Michel. Lavardac, 47230.

     

    Histoire de l’Église, depuis la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ jusqu'à nos jours. Composée sur les documents originaux et authentiques par Wladimir Guettée. Sept tomes. Réédités par le Monastère orthodoxe Saint-Michel - Lavardac, 47230.

    SSN 0753 - 4086.

     

    Père Wladimir GUETTÉE et Port-Royal. 127 p. Skit du Saint-Esprit. Le Mesnil-Saint-Denis. 1992.

    ISBN 2-9507360-0-9.

     

    CAHIERS GUETTÉE, 1 numéro de 100 p. 1993.

    Le Père Wladimir Guettée (1816-1892) de bienheureuse mémoire, historien précis, théologien et exégète, fut l'un de ces admirables témoins qui, en plein 19ème siècle revint à l’Église orthodoxe et fit connaître à l'Occident la Foi des Saints Pères et l’Église une du Crédo de Nicée-Constantinople.

    Cahiers Guettée entend d'abord rendre hommage au remarquable historien qu'il a été, et peu à peu republier les pages essentielles de son œuvre considérable, partialement occultées avec acharnement par ses adversaires. De plus, ils font connaître les nombreux écrits qui, se fondant sur les textes patristiques, ont objectivement démontré le peu de fondement, dans la véritable Tradition chrétienne, de la Papauté et de ses dogmes erronés.

    C'est aussi à une étude renouvelée du schisme entre l'Orient chrétien et l'Occident qu'ils nous incitent, étudiant lucidement, dans des sources toujours négligées jusqu'ici, la résistance et le rejet, à l'intérieur même de l'Occident, des innovations des théologiens Francs puis des scholastiques et, ainsi d'ailleurs jusqu'à nos jours face à l'apostasie de l’œcuménisme.

    ISSN 1247-3006.

     

    Site de la grande bibliothèque nationale de France :

    http://data.bnf.fr/documents-by-rdt/12253036/70/page1

     

    NOUVEAU : Réimpression à la demande des ouvrages du Père Wladimir Guettée en collaboration BNF - Hachette.

    http://www.hachettebnf.fr/recherche?search_api_views_fulltext=wladimir+Guett%C3%A9e

     


     

    +

     

     

  • Saint Photios le Confesseur, Patriarche de Constantinople. Réfutations des odieuses calomnies émisent par l'église catholique romaine, contre Saint Photios, Patriarche de Constantinople et dénonciateur (entres autres) de l'hérésie du filioque.

    Saint Photios 1er Patriarche de Constantinople.jpg

    " A Ignace et Photios, les patriarches très saints et orthodoxes :

    MÉMOIRE  ÉTERNELLE !

    A tout écrit, toute parole, tout acte allant contre les saints patriarches Taraise, Nicéphore, Méthode, Ignace et Photios :

    ANATHÈME ! "

     

    " Champion de l'Orthodoxie, défenseur des confesseurs de la foi droite,

    Pilier et fondation de l’Église, instrument de la grâce.

    Vase choisi, harpe de l'Esprit aux sons divins,

    Orateur enflammé, sage hiérarque, pédagogue illustre du monde,

    Trompette qui proclama, en parole et doctrine, que l'Esprit procède du Père seul,

    Comme le proclama, avec autorité divine, le fils du tonnerre, l'évangéliste Jean;

    Adversaire inébranlable des hérésies,

    Tu as coupé l'erreur de l'hérésie et défendu le Saint Symbole de la Foi contre les additions et les corruptions hérétiques,

    O grand Photios, Père très saint,

    Tu es illustre en parole, toi dont le nom est Lumière ! "

    +

  • + La Sainte Bible des Septante, traduction des textes grecs en français par Pierre GIGUET.+

     

    Les Saints Apôtres avec le Seigneur.jpg

     

    Liens qui permettent  la lecture ainsi que le téléchargement

    de la Sainte Bible des Septante en langue française.

     

    http://jesusmarie.free.fr/bible_septante.html

    http://jesusmarie.free.fr/bible_septante.pdf

     

    https://archive.org/details/LaBibleDesSeptanteEnFrancaisVol1

    https://archive.org/details/LaBibleDesSeptanteEnFrancaisVol2

    https://archive.org/details/LaBibleDesSeptanteEnFrancaisVol3

    https://archive.org/details/LaBibleDesSeptanteEnFrancaisVol4

    https://archive.org/details/LePremierLivreDesdras

     

     http://ba.21.free.fr/septuaginta/preface.html

     

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  • INDEX


     

    Lire la suite

  • Lettre de Saint Marc d'Ephèse.

     

    Non habemus papam ! (Nous n’avons [et ne reconnaissons] pas de pape !)

    Petit rappel très utile...

    Source : La Lumière du Thabor - Revue Internationale

    de Théologie Orthodoxe - N°10, pages 19-31.

    Fraternité Orthodoxe Saint GRÉGOIRE PALAMAS - L'Age D'Homme.

     

     

     

    Notre Saint Père Marc d'Ephèse.jpg

     

     

    LETTRE ENCYCLIQUE A TOUS LES CHRÉTIENS ORTHODOXES

     

       de la terre et des îles 

     

      de Notre Père Théophore Saint Marc d’Éphèse.

     

    Les hommes qui nous ont menés en déportation, dans une captivité pernicieuse, et ont voulu nous attirer dans les bas-fonds de Babylone –les dogmes et les rites des Latins– n’ont pu conduire leur projet à terme, se rendant compte eux-mêmes de son absurdité foncière et de son impossibilité, et se sont arrêtés à mi-chemin, eux et tous ceux qui les ont suivis, sans demeurer ce qu’ils étaient, ni devenir ce qu’ils ne sont pas ; ils ont abandonné Jérusalem, la vraie vision de paix (cf. IS. 28 : 16 ; 1 Pierre 2 : 6) et la montagne de Sion, la Foi solide et inébranlable ; quant à être Babyloniens et en porter le nom, ils ne le veulent ni le peuvent ; en sorte qu’on pourrait justement les appeler Gréco-latins, ces déserteurs que nous qualifions généralement de Latinisants.

     

    Ces animaux mêlés, cousins des centaures de la fable, confessent avec les Latins que l’Esprit Saint procède du Fils et qu’Il a le Fils pour cause de Son existence –selon les propres termes de leur Définition de Foi conciliaire– et avec nous, disent qu’Il procède du Père ; avec les Latins, ils affirment que l’addition du Filioque au symbole fut chose légitime et bien fondée, et, avec nous, refusent de la réciter dans le Credo –quoique, s’agissant d’une chose légitime et bien fondée, rien n’empêche de la réciter, n’est-il pas vrai ? Toujours avec les Latins, ils disent que le pain azyme est bien Corps du Christ, mais, avec nous, n’oseraient pas y communier. Ne voilà-t-il pas des traits suffisants pour dépeindre l’humeur de ces personnages ? Si l’on ajoute que ce n’est pas l’amour de la vérité qui les a poussés à rencontrer les latins –cette vérité, qu’ils avaient entre les mains, ils l’ont trahie– mais l’appât de l’or et le désir de conclure une union factice, non celui de s’unir véritablement.

    2. Or il convient d’examiner le mode de leur union : car qui dit union dit moyen terme par lequel on s’unit. Dans le cas présent, c’est par le dogme relatif au Saint Esprit qu’ils ont cru s’unir aux Latins, en confessant avec eux qu’il tire aussi du Fils son existence ; pour tout le reste, ils diffèrent, et il n’y a rien entre eux, pas même une seule chose, qui leur soit commune ni même intermédiaire. Tout au contraire, on récite encore deux symboles différents, comme auparavant ; on célèbre deux liturgies dissemblables, avec consécration de pain levé dans l’azyme, dans l’autre ; deux baptêmes, dont l’un consiste dans une triple immersion, l’autre dans une affusion d’eau sur le sommet de la tête : et tandis que le premier comporte nécessairement la chrismation, le second peut même s’en passer ; deux coutumes enfin, en tout et pour tout différentes, qu’il s’agisse des jeûnes, des ordres ecclésiastiques ou de toute chose de ce genre. Où donc est l’union, quand aucun signe extérieur ne la rend tangible et manifeste ? Et comment se sont unis des gens qui entendent rester attachés à leurs propres usages –ils l’ont même déclaré d’un commun accord– et ne suivent pas les traditions reçues des Saints Pères ?

    3. Mais que disent ces raisonneurs ? "L’Église grecque n’a jamais dit que l’Esprit Saint procédait du Père seul, mais simplement qu’il procédait du Père ; or cette affirmation n’exclut pas le Fils de la procession ; de sorte que, sur ce sujet, nous étions autrefois unis et le sommes toujours à présent". Hélas ! Quelle bêtise ! Et quelle cécité ! Si l’Église grecque a toujours confessé la procession de l’Esprit hors du Père, pour avoir reçu cette doctrine du Christ Lui-même, des saints Apôtres et des Pères des Conciles ; et si elle n’a jamais confessé la procession hors du Fils, doctrine qu’elle n’a, de fait, reçue de personne ; qu’a-t-elle depuis toujours affirmé, sinon la procession hors du Père seul ? Car si l’Esprit ne procède pas du Fils, il est clair qu’il procède du Père seul.

     

    Voyez la même chose dans le Credo à propos de la génération. « Né du Père avant tous les siècles ».

    Qui ajoute ici "né du père seul" ? Nous l’entendons pourtant bien ainsi, et nous l’explicitons à qui le demande ; car nous n’avons pas appris que le Fils soit né d’aucun autre !

     Enfin, c’est en raison de cette doctrine que saint Jean Damascène, au nom de l’Église toute entière et de tous les chrétiens, déclare ceci : « Nous ne disons pas l’Esprit issu du Fils » (PG 94, c.832 B.). Si nous ne disons l’Esprit issu du Fils, il est clair que nous le disons issu du Père seul. Aussi dit-il un peu auparavant : « Pour le Fils, nous ne le disons point cause » (Ibid.) et dans le chapitre suivant : « Seul le Père est cause » (Ibid., c.849 B.).

    4. Que disent-ils encore ? "Nous n’avons jamais considéré les Latins comme hérétiques, mais seulement comme schismatiques".

    Cet argument, remarquons-le premièrement, c’est aux Latins qu’ils l’ont emprunté ; ceux-ci nous qualifient en effet de schismatiques, parce qu’ils n’ont rien à nous reprocher sur le dogme, mais estiment que nous avons été rebelles à l’allégeance qu’ils s’imaginent que nous leur devons. Voyons s’il est juste de leur rendre la politesse et si nous n’avons, nous, aucun reproche à leur faire sur la doctrine.

    Ils donnent, on le sait, pour cause du schisme, le fait d’avoir introduit au grand jour l’addition du Filioque qu’ils marmonnaient auparavant entre leurs dents ; pour notre part, nous nous sommes, les premiers, séparés d’eux, ou plutôt, nous les avons séparés et retranchés du corps commun de l’Église. Pour quelle raison, dites-moi ? Parce qu’ils avaient une doctrine orthodoxe ou de justes raisons d’introduire leur addition ? Et qui dira cela, à moins d’avoir la cervelle complètement dérangée ?!

    Ou bien parce que leur dogme était aberrant et impie et l’addition, illégitime ? C’est donc pour cause d’hérésie que nous nous sommes détournés d’eux ; telle fut la raison de notre séparation d’avec d’eux.

    Quelle autre cause pourrait-il y avoir en effet ? Les lois amies de la piété ne déclarent-elles pas : "Est hérétique, et sous le coup des lois concernant les hérétiques, celui qui dévie, si peu que ce soit, de la Foi Orthodoxe" (saint Photios, Nomocanon XII, c.2.). Si donc les Latins n’ont pas dévié d’un pouce de la Foi Orthodoxe, nous n’avons, évidement, pas eu raison de les retrancher de l’Église ; mais s’ils ont complètement dévié, et cela, dans la théologie du Saint Esprit, qu’il est infiniment périlleux de blasphémer, alors ils sont hérétiques, et nous les avons exclus de l’Église pour hérésie.

    Poursuivons. Pourquoi chrismons-nous ceux d’entre eux qui viennent à l’Orthodoxie ? N’est-ce pas, à l’évidence, parce qu’ils sont hérétiques ? Le huitième canon du Deuxième Concile Œcuménique dit en effet : « Ceux qui venant d’une hérésie rentrent dans l’Orthodoxie et s’agrègent à la part des élus, nous les recevons selon les rites et les usages suivants : Ariens, Macédoniens, Sabbatiens et Novatiens qui se donnent le nom de Cathares (Purs) et de Meilleurs, ainsi que les Quartodécimans ou Tétradites et les Apollinaristes, nous les recevons à condition qu’ils donnent un texte écrit, condamnant à l’anathème toute hérésie non conforme au dogme de la Sainte Église de Dieu Catholique et Apostolique, et qu’ils reçoivent, avant d’être admis, le sceau ou chrismation, que nous faisons avec le Saint Chrême sur le front, les yeux, les narines, la bouche et les oreilles, en disant : « Le Sceau du Saint Esprit » [1]. Tu vois dans quel groupe nous classons les Latins qui nous rejoignent ? Si les noms qu’énumère le canon ci-dessus sont tous hérétiques, les Latins le sont certainement.

    Enfin le très sage Patriarche d’Antioche, Théodore Balsamon, écrivait, dans ses Réponses à Marc, très Saint Patriarche d’Alexandrie : "Des prisonniers Latins, et autres personnes, se présentent dans nos églises catholiques et demandent la communion au Divins Sacrements. Pouvons-nous la leur accorder, telle est la question.

    –« Qui n’est pas avec moi est contre moi et qui n’assemble pas avec moi disperse » (Matt. 12: 30 ; Luc 11: 23). Étant donné que depuis de longues années la très célèbre Église d’Occident, celle de Rome, s’est séparée de la communion des quatre autres patriarcats, en s’isolant dans des rites et des dogmes étrangers à ceux de l’Église Catholique et Orthodoxe ; que, pour cette raison, dans la célébration des Divins Mystères, le pape n’a pas l’honneur d’être mentionné parmi les patriarches au moment de l’anaphore ; les personnes de confession latine ne peuvent recevoir des mains du Prêtre la sanctification des Purs et Divins Mystères, à moins qu’elles n’acceptent d’abord de renoncer aux dogmes et aux usages latins, et qu’elles reçoivent, comme l’ordonnent les canons, une instruction catéchétique et deviennent Orthodoxes à part entière" (PG 138, c.968 AB.).

    Tu entends ? Dit-il, oui ou non, qu’ils se sont séparés en s’isolant non seulement dans des rites mais encore dans des dogmes étrangers à l’Orthodoxie –or tout ce qui est étranger à l’Orthodoxie est hérétique– et qu’ils doivent, selon les canons, recevoir une catéchèse et devenir Orthodoxes à part entière ? Or il est clair que s’ils doivent être catéchisés, ils doivent aussi être chrismés. D’où a surgi leur réputation d’orthodoxie, quand tant d’époques et tant de Saints Pères et de Saints Docteurs les ont condamnés comme hérétiques ? Qui les a si facilement rendus orthodoxes ? C’est l’or, si tu veux bien dire la vérité, et les pots de vin que tu as touchés ; ou plutôt, l’or ne les a pas rendus Orthodoxes, mais toi, il t’a fait devenir semblable à eux et t’a donné ton lot parmi les hérétiques.

     [1] Cf. Saint Nicodème, Pidalion, Athènes 1957, p. 163, canon 7.

    5. "Mais si nous arrivions à mettre au point un moyen terme dans les dogmes, nous leur serions unis par ce dogmes mitoyen, tout en restant fidèles à nous-mêmes, sans être forcés de rien dire de contraire à nos habitudes et à nos Traditions". Voilà la belle raison qui a trompé la plupart, depuis le début, et les a engagés à suivre des meneurs qui les ont entraînés au gouffre de l’impiété. Croyant qu’il existe un milieu entre deux opinions, comme c’est le cas pour certains contraires, ces déserteurs se sont jetés dans la gueule du loup.

    Or, s’il est bien possible de trouver, entre deux opinions, une formulation moyenne qui les signifie également l’une et l’autre, par le jeu de l’équivoque, en revanche, entre deux opinions contradictoires relatives au même objet, il ne saurait y avoir d’opinion moyenne ; sans quoi, il y aurait aussi un moyen terme entre le vrai et le faux, entre l’affirmation et la négation. Mais il n’en est rien ; en toute chose, l’alternative est exclusive : ou bien l’affirmation ou bien la négation. Si donc le dogme latin, qui dit que l’Esprit Saint procède aussi du Fils, est vrai, le nôtre est faux puisque nous disons qu’Il procède du Père seul –telle est bien la raison pour laquelle nous nous sommes séparés d’eux ; si le nôtre est vrai, le leur sera forcément faux. Quel milieu peut-il y avoir entre ces deux choses ? Aucun ; sinon une formule ambivalente qui s’adapte aux deux opinions comme un cothurne qui va aussi bien au pied droit qu’au pied gauche. Et c’est une formule de ce genre qui nous unira ? Et que ferons-nous, quand nous en viendrons à l’examen mutuel du contenu de nos croyances et de nos doctrines ? Ou si nous pouvons nous appeler les uns les autres Orthodoxes quand nous pensons à l’opposé les uns des autres ? Pour moi, je ne crois pas ; à toi de voir, toi qui as l’art de tout embrouiller et de donner aux choses le nom qu’il te plait. Veux voir ci-dessous comment Saint Grégoire le Théologien parle des formules moyennes ?

    « C’était une figurine qui vous regarde de quelque côté que vous arriviez, un cothurne qui s’adapte aux deux pieds, un crible à tous les vents (Ecclésiastique "Siracide" 5: 9), tirant son autorité de leur malice à interpréter l’Écriture et de l’artifice imaginé contre la vérité ; car cette formule de "semblable selon les Écritures" était un appât qui recouvrait l’hameçon de l’impiété » (Grégoire de Nazianze, Homélie sur saint Athanase PG 35, c.1108 A.). Voilà pour le moyen terme qu’on avait inventé à l’époque. Du concile qui l’avait imaginé, il dit encore : « De quel nom appeler cette assemblée ? Tour de Babel, qui vit la juste confusion des langues –plût au ciel qu’elles se fussent ainsi confondues, ces langues à l’unisson dans le mal ! – Sanhédrin de Caïphe, qui condamna le Christ ? D’un autre nom encore ? Cette assemblée a tout confondu et renversé : elle a aboli l’antique et sainte doctrine de la Trinité et l’égalité d’honneur qui est son partage, en dressant ses batteries contre le CONSUBSTANTIEL et en battant ce rempart en brèche ; bref, elle a ouvert la voie à l’impiété, par ce moyen terme entre ce qu’on dit et ce qui est écrit. Car "ils ont eu de la sagesse pour mal faire, mais ils n’ont point su faire le bien" Jér. 4,22 » (Grégoire de Nazianze, ibid. c. 1105 C.)

    Voilà qui nous suffira sur cette question du moyen terme : nous avons amplement démontré qu’il n’en existe absolument pas et qu’une telle recherche est impie et étrangère à l’Église.

    6. Mais quelle attitude adopter, demandera-t-on, à l’égard de ces Gréco-latins mi-figue mi-raisin, qui, en bons amateurs des solutions moyennes, divisent en trois catégories les dogmes et les rites des Latins : ceux qu’ils approuvent ouvertement et sans réserve ; ceux qu’ils approuvent, mais sans les embrasser ; ceux qu’ils désapprouvent totalement ?

    Fuyez-les ! Fuyez-les comme des serpents, comme des gens qui font commerce du Christ, au gros et au détail, ou pire encore. Car ils sont de ceux qui, selon le Divin Apôtre, font de la piété une source de bénéfice (1 Tim. 6,5) et dont il dit encore « Fuis cette engeance » (1 Tim. 6, 11) car ce n’est point pour s’instruire, mais pour se remplir les poches qu’ils sont passés à l’ennemi. « Or qu’y a-t-il de commun entre la Lumière et les ténèbres ? Quelle entente du Christ avec Bélial ? Ou quelle part, du fidèle avec l’infidèle ? » (2 Cor. 6, 14-15).

     

    Car voici les faits : nous, avec saint Jean Damascène (PG 93, c.882 B) et tous les Pères sans exception, nous disons que l’Esprit ne procède pas du Fils ; eux, avec les Latins, disent que l’Esprit procède du Fils.

     

    Et nous, avec le Divin Denys, nous disons que le Père est la seule source de la Divinité suressentielle (PG 3, c.641 D) ; eux, avec les Latins, disent que le Fils aussi est source de Saint Esprit, expulsant par conséquent ce dernier hors de la Divinité.

     

    Nous, avec Saint Grégoire le Théologien, nous distinguons le Père du Fils par la causalité (PG 36, c.252 A) ; eux, avec les Latins, le conjoignent par la causalité.

     

    Nous, avec le vénérable Maxime, les Romains de son époque et les Pères occidentaux, nous ne faisons pas du Fils la cause de l’Esprit (PG 91, c.136 A) ; eux déclarent que le Fils est, selon les Grecs, "cause", selon les Latins "principe" de l’Esprit, dans leur Définition de Foire (il est juste de la décorer de cette appellation, puisqu’ils l’ont signée en foirant de peur).

     

    Nous, avec Justin, philosophe et Martyr, nous disons que l’Esprit sort du Père, comme le Fils sort du Père (PG 6, c.1224 A) ; eux, avec les Latins, disent que le Fils sort immédiatement, mais l’Esprit médiatement du Père.

     

    Nous, avec Saint Jean Damascène (PG 94, c.824 A) et tous les Pères sans exception, nous confessons ignorer en quoi diffèrent génération et procession ; eux, avec Thomas et les Latins, disent que les deux provenances différent par le médiat et l’immédiat.

     

    Nous, nous disons, selon les Pères, que la Volonté et l’Énergie de la nature Divine et incréée, sont incréées ; eux, avec les Latins et Thomas, disent que la volonté est la même chose que l’essence, et que l’énergie divine est créée, même si elle reçoit le nom de divinité, de lumière divine et immatérielle, d’Esprit Saint, et tous autres noms similaires ; ainsi ils élèvent les créatures infirmes au rang de divinité créée, de lumière divine créée, d’Esprit Saint créée !

    Nous affirmons que ni les Saints ne jouissent déjà du Royaume qui leur a été préparé et des biens indicibles, ni les pécheurs ne sont déjà tombés dans la géhenne, mais que les uns comme les autres attendent leur lot respectif, qui appartient au temps d’après la Résurrection et le Jugement ; eux, avec les Latins, veulent que les uns jouissent déjà, aussitôt après la mort, de ce dont ils sont dignes ; pour ceux qui sont dans l’entre-deux, c’est-à-dire qui sont morts sans avoir achevé de faire pénitence, ils ont inventé un feu purgatoire, différent de celui de la géhenne, auquel ils confient ces défunts afin, disent-ils, que leurs âmes une fois purifiées par ce feu, après la mort, ils trouvent eux aussi place dans le Royaume avec les Justes ; doctrine qui a même été consignée dans leur Définition de Foi.

     

    Nous, fidèles aux canons que les Apôtres ont fixés, nous abhorrons le pain azyme des Juifs ; eux déclarent dans la même Définition que le sacrifice que les Latins consacrent dans leur liturgie est le Corps du Christ.

     

    Nous disons que le simple fait d’avoir ajouté quelque chose au symbole de la Foi est illégitime, anti-canonique et anti-patristique ; eux le définissent comme un acte légitime et bien fondé ; tant ils savent s’accorder avec eux-mêmes et avec la vérité !

     

    Nous considérons le pape comme un patriarche parmi les autres, et cela, bien sûr, s’il est orthodoxe ; eux le proclament fort pompeusement vicaire du Christ, et père et docteur de tous les chrétiens. Puissent-ils être plus heureux que leur père, s’ils lui ressemblent quant au reste [2] ! Car lui joue de malchance et n’est pas heureux avec cet antipape qui le taraude sans cesse –et nos hommes n’ont pas envie d’imiter leur père et docteur !

    [2] Sophocle, Ajax. Saint Marc joue sur le nom de l’antipape Félix (Heureux).

    7. Fuyez-les donc, frères, eux et leur communion ; « ces hommes sont de faux apôtres, des artisans d’imposture, déguisés en apôtres du Christ. Rien d’étonnant du reste, car Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Ce n’est donc pas merveille si ses serviteurs eux aussi prennent l’apparence de serviteurs de la justice, eux dont la fin sera selon les œuvres » (2 Cor. 11, 13-15).

    Ailleurs, le même Apôtre dit encore d’eux : « De tels hommes ne servent pas Notre Seigneur Jésus Christ, mais leur propre ventre et par et par leurs belles paroles et leur langage doucereux, ils abusent les cœurs les plus simples (Rom. 16, 18) ; mais le solide fondement de la Foi tient bon, scellé de ce sceau (2 Tim. 2, 19) ». Et ailleurs : « Prenez garde aux chiens, prenez garde aux mauvais ouvriers, prenez garde aux faux circoncis » (Phil. 3, 2) ; ailleurs encore : « Si quelqu’un vous annonce un Évangile différent de celui que vous avez reçu, quand même ce serait un Ange descendu du ciel, qu’il soit anathème ! » (Gal. 1,8).

    Voyez la prophétie que renferme cette parole : « quand même ce serait un Ange descendu du ciel » afin que personne ne vienne vous objecter la primauté papale. Et le disciple bien-aimé : « Si quelqu’un vient à vous sans apporter cette doctrine, ne le recevez pas sous votre toi, ne lui dites pas bonjour ; car celui qui dit bonjour participe à ses œuvres mauvaises » (2 Jn 10-11).

    Les Saints Apôtres vous ayant fixé ces règles, tenez ferme et gardez les traditions écrites et non écrites que vous avez reçues, de peur que l’égarement des sans-loi ne vous séduise et ne vous fasse choir de votre propre constance.

     

    Puisse le Dieu Tout-Puissant faire que ces hommes reconnaissent leur erreur et qu’Il nous délivre de cette ivraie nuisible et nous rassemble dans ses greniers comme un froment pur et bon, dans le Christ Jésus Notre Seigneur ; à Lui convient toute Gloire, Honneur et Adoration, avec son Père sans principe et son tout Saint, Bon et Vivifiant Esprit, maintenant et toujours et aux siècles des siècles. Amen !

     

     

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