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Les Saintes Ecritures - Page 4

  • PROFESSION DE FOI ET CATECHETIQUE ORTHODOXE (1)

     

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    La Foi Transmise

    Profession de Foi Orthodoxe et catéchétique à l'usage de ceux qui approchent la Sainte Illumination par le Sacrement du Baptême.

     

     

    Revue et corrigée par le Saint monastère de la Transfiguration à Boston U.S.A. (sous la juridiction canonique du Saint Synode de l’Église Orthodoxe Russe Hors-Frontières en 1972)

     

    Publiée avec la bénédiction du Très Révérend Archimandrite Père Ambroise FONTRIER, doyen des paroisses de l’Église Orthodoxe de France. (+ 1992) Mémoire éternelle.

     

    Rédigée par le révérend Père Basile SAKKAS (+ 2014) Mémoire éternelle.

     

     

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    Au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, Amen !

     

    Quand on confesse son appartenance à l’Église Orthodoxe Une, Sainte, Catholique et Apostolique, on est dispensé de toute autre confession de Foi particulière car dans l’Église réside la plénitude de la Vérité et une profession de Foi particulière n'ajoute rien.
    Bien au contraire, la multiplication d'idées risque de devenir une cause supplémentaire de déformation, de déviation et d'égarement.
    Mais puisque le diable, à l'aide de différends courants de la pensée humaine, s'efforce de contrefaire la Foi pure de l’Église et que l'on attribue souvent au Credo de Nicée-Constantinople, tout en le récitant intégralement, des significations diverses et personnelles, rationalistes ou allégoriques, j'expose ici, plus en détail, ma Foi en l’Église Orthodoxe, afin que la triple récitation du Credo que je ferai lors de mon Baptême se fasse selon les intentions de l’Église Orthodoxe Une, Sainte, Catholique et Apostolique en évitant tout équivoque.
    En exposant en détail ma profession de Foi, je demande à Dieu de me préserver de l'égarement et du danger que j'encours de me tromper ou de déformer les Vérités Divines par l'infirmité du langage humain, dont la valeur est toute relative, inapte que je suis de parler correctement des choses de Dieu !
    Dieu m'est témoin que par cette profession de Foi solennelle je n'expose pas mon savoir, ne cherche pas à définir les choses indéfinissables par leur nature, mais essaye de me préserver de l'erreur et de l'égarement en dénonçant les fausses doctrines.
    En outre je cherche à prouver au Prêtre qui me baptisera et qui ne peut sonder mon cœur, la pureté relative de mes intentions ; que mon choix au milieu du chaos du monde où nous vivons est libre et conscient ; que je ne suis pas victime de mon exaltation, de mes illusions, de mes sentiments qui peuvent m'égarer, de mon raisonnement défaillant à cause de mon péché, mais que c'est Dieu qui, me donnant un avant-goût de Sa Grâce, (la Grâce avant la Grâce) conférée par le Saint Baptême, m'a rendu digne sans que je le mérite et pour une raison que je ne peux expliquer, de percevoir le chemin qui mène à la vie éternelle.
    C'est Lui Qui a mis dans mon cœur le vouloir de m'y engager et le désir ardent de devenir membre de Son Corps Glorieux en m'unissant par le Saint Baptême et la Sainte Eucharistie, à Sa Véritable et Authentique Église Orthodoxe Une, Sainte, Catholique et Apostolique !
    C'est ainsi que, renonçant à tout mon passé, reconnaissant que je n'ai jamais fait quoi que se soit de bon sur la terre, je me prosterne devant mon Dieu Qui a créé les cieux et la terre : « Qui voit des défauts même parmi Ses Anges1 » et devant Qui : « Les cieux mêmes ne sont pas purs2 » je n'élève pas mes mains vers un : « dieu étranger » mais, à l'exemple des Trois Jeunes Gens dans la fournaise ardente de Chaldée3 , je lève mes mains vers : « Le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob4 » le Dieu de tous les Justes, Patriarches, Rois, Prophètes, Apôtres, Saints et : « Tout esprit juste accompli dans la Foi ».
    Je cherche en confessant Jésus-Christ par le Saint-Esprit, être rendu digne de devenir le fils de tous ces Saints et cohéritier avec eux des promesses qui leur ont été faites, afin que je puisse aussi oser appeler avec hardiesse et sans encourir condamnation le Dieu du Ciel : « PÈRE » et : « DIEU DE MES PÈRES » !


    1. Je crois à Dieu le Père5, sans Commencement, Indescriptible, Incompréhensible, Inexprimable, Incommensurable, Qui est au-dessus de toute substance créée, Qui Seul connaît Sa propre nature et Sa propre substance, Qui n'est Identique qu'à Lui-même, à Son Fils et au Saint-Esprit, sur Lequel même les Séraphins n'osent poser leurs regards6 ! Je crois qu'Il est la CAUSE de toute chose en même temps que le BUT FINAL de toute chose. Il n'y a personne au-dessus de Lui et Il est éternel, sans commencement et sans fin. Il est le Créateur de tout l'univers visible et invisible. A part Lui, toutes les créatures visibles et invisibles ont eu un commencement et il y eut un moment où elles n'ont pas existé. Il a créé l'univers ex-nihilo ! La terre a eu un commencement. L'homme fut créé par l'Amour de Dieu. Mais la Création de l'homme (et de l'univers) ne constitue pas un besoin pour Dieu. La création est le fait de la volonté libre et inconditionnée du Créateur. S'Il l'avait voulu Il aurait pu ne pas nous créer et l'absence de la Création ne constituerait pas une privation pour Lui. L'Amour créateur de Dieu n'est pas un amour qui Lui procure une satisfaction. Dieu n'a aucun besoin à satisfaire. Il est au-dessus de tout besoin et de toute nécessité. L'Amour de Dieu ne peut être comparé avec l'amour des hommes, ni aucun autre de Ses attributs : Paternité, Justice, Bonté. C'est un amour entièrement libre, entièrement désintéressé, qui constitue un Mystère, qui est insondable pour la raison humaine ! Dieu n'a pas de « sentiments » qui créent en Lui la passion, la souffrance, le besoin, la nécessité. Toutefois, bien que la nature de l'Amour Divin soit insaisissable et inexplicable pour la raison humaine, cet amour est réel et authentique et je confesse selon les Saintes Écritures que : « DIEU EST AMOUR7 » !


    1- Jb 4 : 18.


    2- Jb 15 : 15.


    3- Dn. 3 : 16-18. et versets version en grec de la Septante : 24-90.


    4- Ex. 3 : 6 ; Mt. 22: 32 ; Mc 12 : 26.


    5- Lire le livre admirable de Mgr Nicolas Vélimirovitch « La Foi et la vie selon l’Évangile » Éditions L'Age d'Homme. http://www.lagedhomme.com/rechercher/?r_classification=300


    6- Es. 6 : 2.


    7- 1 Jn 4 : 8-9

     

     

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  • La Sainte Bible selon La VULGATE - Traduction en français.

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    http://archive.org/stream/lasaintebiblepol00vigo

     

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  • HISTOIRE DE L'EGLISE DE FRANCE - Tome 8.

    Père Wladimir Guettée.jpg

     

     

     

    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62119041.r=.langFR

     

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  • HISTOIRE DE L'EGLISE DE FRANCE - Tome 7.

     

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    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62120151.r=.langFR

     

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  • HISTOIRE DE L'EGLISE DE FRANCE - Tome 6.

    Père Wladimir Guettée.jpg

     

    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211633q.r=.langFR

     

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  • HISTOIRE DE L'EGLISE DE FRANCE - Tome 5.

     

     

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    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211905f.r=.langFR

     

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  • HISTOIRE DE L'EGLISE DE FRANCE - Tome 4.

     

    Père Wladimir Guettée.jpg

     

    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211642p.r=.langFR

     

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  • HISTOIRE DE L'EGLISE DE FRANCE - Tome 2.

    Père vénérable Wladimir Guettée.jpg

     

    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211897b.r=Histoire+de+l%27Eglise+de+France+-+Abb%C3%A9+Guett%C3%A9e.langFR

     

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  • + Pour la défense de la mémoire du Père Wladimir GUETTEE (né le 01 décembre 1816 ; décédé le 07 / 20 mars 1892) martyr pour son immense travail d'écrivain et pastoral +

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    Le Père Wladimir Guettée, écrivain ecclésiastique français, confesseur de la Foi Chrétienne Orthodoxe de l’Église de Notre Seigneur Dieu et Sauveur Jésus-Christ.

    + Mémoire éternelle.+

     

    E_Renan_devant_la_science_ou_réfutation par le Père W. Guettée.pdf

     

    (Le document numérique commence à partir de la 11ème page.)

     

  • Mémorandum au sujet du Calendrier Orthodoxe - Annexe & Conclusions. (24)

     

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    "L'Orthodoxie ou la mort" nos saints Pères Zélotes du Saint Monastère d'Esphigménou au Mont-Athos.

     

    EN CONCLUSION, NOUS CITERONS CE QU’ÉCRIT JUDICIEUSEMENT LE THÉOLOGIEN GREC ALEXANDRE KALOMIROS :

     

                « Très peu de gens, malheureusement, ont compris l’importance de la question de “ l’ancien calendrier ” comme on l’appelle. La plupart de ces gens, des lettrés “ enflés ”, attribuent à l’étroitesse d’esprit du peuple illettré la réaction des “ Vieux Calendaristes ”, tant est profond leur mépris envers les illettrés. Cependant, ces illettrés, pour réagir comme ils l’ont fait, devaient avoir, à défaut d’autre chose, un zèle religieux et des intérêts spirituels que n’avait pas la masse des indifférents, qui suivait, sans savoir comment se posait le problème, à la majorité des évêques. Aucun des théologiens “ éclairés ”, aucun de leurs adeptes, n’a manifesté la moindre inquiétude devant ce problème de la division de l’Église hellénique, pas plus qu’il n’a cherché à trouver une réponse au cri de douleur de tant de milliers de fidèles. Ces “ théologiens ” avaient pour eux la majorité, les chiffres les sécurisaient. Mais, en réalité, le grand nombre n’était pas avec eux, car si les Vieux-Calendaristes n’étaient que quelques milliers, ils étaient des fidèles qui souffraient pour l’Église ; alors que les millions des indifférents, des matérialistes, des athées, qui suivaient le nouveau calendrier, difficilement on eût trouvé quelques milliers de vrais chrétiens. Ils ont voulu rendre ridicules ces simples nouveaux confesseurs de l’Orthodoxie, en disant que c’était par superstition qu’ils refusaient de régler leur montre déréglée qui ne marchait pas bien !

                Mais là n’était pas le problème. Ils n’avaient pas raison en accusant les « Vieux-Calendaristes » de se disputer pour un calendrier. La question ne consistait pas à savoir lequel des deux calendriers était juste - les deux sont inexacts -. Ce n’est donc pas pour des raisons d’exactitude astronomique que les Vieux-Calendaristes tenaient à l’ancien calendrier, pas plus que les Néo-Calendaristes n’avaient introduit le nouveau pour un tel motif. La véritable raison de l’introduction du Nouveau Calendrier n’a été ni astronomique, ni théologique, mais tout simplement une des nombreuses concessions faites par une hiérarchie asservie à l’État, son patron, qui la lui demandait pour faciliter les échanges commerciaux !

                La raison du refus des Vieux-Calendaristes était fondamentalement théologique et jaillissait des profondeurs de leur conscience ecclésiastique. En effet, l’unité liturgique de l’Église du Christ était en jeu pour des intérêts politiques sordides. Par le changement du calendrier le souffle liturgique commun entre l’Église Helladique et les autres Églises Orthodoxes, qui gardaient encore l’Ancien Calendrier, était brisé. Il ne s’agissait plus seulement de désordre dans la vie liturgique de l’Église militante, mais aussi de la continuité de la vie liturgique de l’Église militante avec l’Église triomphante…

                Que pouvait-on imaginer de pire pour l’Église que l’éclatement de son souffle liturgique commun, éclatement qui nous a non seulement éloignés des autres Églises Orthodoxes qui continuent de suivre le calendrier ecclésiastique, mais aussi de tous les Chrétiens Orthodoxes qui nous ont précédés, de l’Église triomphante, de ceux qui dorment dans le Seigneur, de tous les Saints qui ont célébré les fêtes selon le Calendrier Ancien, que nous avons rejeté aveuglément !

                Tant d’efforts de nos Saints Pères, tant de Conciles ont été nécessaires pour construire le Calendrier qui devait instaurer une eurythmie liturgique entre les Églises Chrétiennes ! Car cette eurythmie et ce souffle commun expriment l’unité liturgique interne de l’Église, unité qui rend palpable l’Église Une, malgré la multiplicité des Églises locales. L’Église n’est pas unifiée, comme le croit le Papisme, par une discipline rigide et une obéissance aveugle à une hiérarchie déterminée au sommet de laquelle siège un seul et unique individu qui se dit être le… représentant du Christ sur la terre, mais par la communion mystique au Corps et au sang du Christ. Toute église où est célébrée la Divine Eucharistie et où sont rassemblés les fidèles « dans un même lieu », est l’image totale de l’Église Une, Sainte, Catholique et Apostolique. Ce qui fait qu’une paroisse forme un corps avec les autres paroisses, qu’un évêché forme un corps avec un autre évêché, c’est la communion mystique de tous au Corps et au Sang du Christ, dans l’Esprit et la Vérité.

                L’Unité de l’Église est un lien mystique forgé lors de la liturgie, quand les fidèles communient au Corps et au Sang du Christ. Les chrétiens forment un corps : ceux qui vivent aujourd’hui sur la terre avec tous ceux qui les ont précédés dans les siècles passés, et ceux qui vivront dans les années qui viennent, et cela parce qu’ils ont une racine commune : le Corps du Christ. « Il n’y a qu’un seul pain ; de même, si nombreux que nous soyons, nous formons un seul corps ; car tous nous participons à un seul et même pain ».

                L’Unité de l’Église n’est donc pas administrative, disciplinaire, organisée selon le “ monde ” : Elle est liturgique. D’où la grande importance du calendrier. L’Unité qui jaillit de la Divine Eucharistie, de la Foi Une, du Saint Baptême Un, cesse d’être palpable, extérieurement, quand il y a anarchie. La forme et les paroles de la Liturgie ont été ordonnancées, de manière que toutes les Églises adorent Dieu de la même façon et les livres des Mois ou Sanctoraux contiennent ce qui doit être chanté lors de chaque fête. Aussi aucune dissonance ne peut troubler l’harmonie liturgique, parce que la musique, l’iconographie, qui sont des arts liturgiques, ont été instituées pour que chaque iconographe ou chantre ne puisse peindre ou chanter selon sa fantaisie, mais qu’il adapte son art personnel et son talent aux modèles du réalisme spirituel le plus austère. C’est dans cet esprit qu’a été conçu le calendrier, pour éviter que chaque prêtre ne célèbre les fêtes comme bon lui semble, et pour qu’il ait totale communion de prière entre tous les fidèles de la terre !

                Le peintre qui peint les icônes de l’Église selon son goût, au mépris de la Sainte Tradition et le chantre qui chante théâtralement dans l’Église comme un chanteur, au lieu de psalmodier, brisent l’harmonie liturgique de l’Église Orthodoxe…

                On ne s’est   pas rendu compte, en Grèce, combien la concession faite au monde a été grave, et quel coup a été porté contre l’Église par l’abolition du calendrier ecclésiastique et l’introduction du Nouveau. Et si certains ont compris cette gravité, ils n’ont pas eu la force de se dresser et de proclamer la vérité. Aucun sage, aucun puissant de ce monde n’a élevé la voix pour protester. Ainsi devait être démontré, une fois encore, que « Dieu a choisi les faibles de ce monde pour confondre les forts » (1 Cor. 1 : 27) et « qu’Il a déclaré folle la sagesse des sages » (1 Cor. 1 : 17-20). Les “sages” se sont tus et se sont soumis, et les fidèles illettrés se sont dressés ! Ils ne se sont pas embarrassés de théories astronomiques et de calculs mathématiques, mais ils ont parlé au nom de la Sainte Tradition de l’Église. Ils savaient que la Tradition était chose sacrée que l’on ne pouvait fouler aux pieds au nom d’une science en perpétuel devenir, ou encore au nom des intérêts politiques et économiques d’un pays.

                Mais « les disciples des sages de ce siècle, appellent fous ceux que Dieu a enseignés ». Ainsi donc, depuis le commencement jusqu’à ce jour, ils traitent les « Vieux-Calendaristes » de fous, de bigots, de fanatiques, de superstitieux, etc… et se glorifient de leur propre savoir qui les met au-dessus de tels “détails” et de ces problèmes qu’ils prétendent inutiles.

    L’EFFILOCHAGE.

                Quand on prend pour un détail un élément de la Sainte Tradition de l’Église, on prendra également et dès la première occasion, pour un détail, un autre élément, et pour finir, tout ce qui nous déplaira, dans la Tradition de l’Église, sera pris pour un détail. Ainsi en a-t-il été avec l’iconographie, avec la psalmodie, avec l’aspect des prêtres. Les soutanes sont devenues, tout-à-coup, trop noires ou trop voyantes, les barbes et les cheveux des clercs trop longs, les stalles sont remplacées par des fauteuils, le monachisme et les moines calomniés, les biens des monastères confisqués, les Saints Canons qui interdisent de prier avec des hétérodoxes ignorés, on va même aux colloques de ces derniers, on ne tient aucun compte de l’opinion du peuple chrétien dans les élections des évêques et le choix des prêtres, la liturgie est abrégée, des parties de l’Office supprimées « pour ne pas fatiguer le monde » ! En d’autres termes, on renverse les coutumes de l’Église Orthodoxe selon les goûts d’une foule décadente adonnée au culte de la chair et de la matière.

                C’est ainsi que le tricot de la Sainte Tradition de l’Église a commencé et continu à s’effilocher et personne ne sait où l’effilochage s’arrêtera, si jamais il s’arrête ».

     

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    Le Saint Archevêque Jean Maximovitch

     

    GLOIRE A DIEU POUR TOUT

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